Vous pouvez jeter un œil à tous les projets qui nous animent ces derniers temps.
L‘ensemble des collaborateurs et collaboratrices qui ont travaillé sur nos projets.
Je suis chercheur en sociologie l'IRISSO (INRAE, Université Paris-Dauphine).
Je travaille principalement sur les politiques de santé animale, la profession vétérinaire et l'utilisation des antibiotiques en élevage. Je m'intéresse plus largement à la façon dont le problème de l'antibiorésistance transforme les savoirs médicaux et les marchés du médicament, en médecine humaine comme vétérinaire. J'ai notamment coordonné les projets AMAGRI et ROADMAP, et je mène désormais le projet DOSA.
Toutes mes publication sur Researchgate.
Je suis sociologue chargé de recherche au CNRS et rattaché à l'IRISSO. Mes recherches s’intéressent à la production des connaissances scientifiques et réglementaires dans le secteur de la chimie (produits chimiques industriels, pesticides, médicaments humains et vétérinaires). Je m'intéresse actuellement aux circulations de pesticides et d’antibiotiques vétérinaires à l’échelle globale.
Dans le cadre du projet AMAGRI, j’enquête à la fois sur les politiques publiques adoptées pour réguler la prescription d’antibiotiques en élevage et sur la production de l’expertise internationale sur l’antibiorésistance. Je m’intéresse en particulier aux formes de savoir et d’expertise mobilisés pour catégoriser certaines molécules comme « antibiotiques critiques » (dans le cadre du paquet « médicament vétérinaire » adopté par l’Union européenne début 2019) et aux initiatives internationales de lutte contre l'antibiorésistance (Codex Alimentarius).
Je suis docteure en science politique depuis 2017. Mes recherches croisent la sociologie des groupes professionnels, de l’action publique, des mobilisations collectives et des études de genre.
Au sein du projet AMAGRI, j'ai conduit une enquête centrée sur les filières porcine et avicole afin d’étudier les évolutions des modèles économiques de la profession vétérinaire (structuration de holdings et de réseaux de cabinets, développement de services ou de biens sur le marché de la santé animale) ainsi que l’implication de la profession aux différentes échelles de la production et de la distribution du médicament vétérinaire. Avec le collectif GRAMs, je vais prolonger ces travaux sur de nouveaux terrains, notamment en Argentine !
J'ai aussi plein d'autres projets, sur la place des femmes agriculture, les luttes féministes et lesbiennes ou encore la gestion du problème de l'amiante dans l'administration publique.
Post-doctorant à l’IRISSO (CNRS – INRAE – Université Paris-Dauphine), j’ai une double formation de docteur en sciences sociales (EHESS) et d’ingénieur en biosciences (INSA Lyon). Mes recherches se situent au croisement de l’histoire et de la sociologie des sciences, de l’histoire environnementale, et de la sociologie de l’expertise et de l’action publique. Elles portent sur les savoirs et l’action publique touchant au domaine de la santé environnementale aux XXe et XXIe siècles.
Au sein du collectif AMAGRI, je me suis intéressé aux savoirs et à l’action publique sur la composante environnementale du problème de l’antibiorésistance (notamment ce qui concerne les rejets et la circulation d’antibiotiques et de bactéries résistantes dans l’environnement), dans le contexte du déploiement du mot d’ordre « One Health ».
Avant cela, ma thèse a porté sur la trajectoire scientifique, sociale et politique d’une famille de substances chimiques, les PCB (polychlorobiphényles).
Je suis sociologue au Cirad (France, UMR Moisa). Je conduis des recherches sur les risques sanitaires et la santé globale, en lien avec les enjeux de développement dans les pays sous régime d'aide. Les risques que j’étudie sont principalement liés à l'élevage, et plus précisément les maladies infectieuses émergentes et les phénomènes d'antibiorésistance, dans le contexte de la mise en œuvre du concept One Health.
Je travaille actuellement au Mozambique sur le marché des médicaments vétérinaires et le plan national de réduction des risques d'antibiorésistance.
Les collègues qui nous ont fait le plaisir de partager leur point de vue avec nous.
Je suis inspectrice de la santé publique vétérinaire, en poste à la Direction générale de l’alimentation du Ministère en charge de l’agriculture. J’ai rejoint le projet AMAGRI dans le cadre du Master PAGERS dispensé par l’Ecole Nationale des Services Vétérinaires et l’Institut d’Etudes Politiques de Lyon.
J’ai travaillé sur la démarche de classification des antibiotiques d’importance critique pour en approcher les différentes expressions aux niveaux international, européen et national. Pour cela, je me suis intéressée à la trajectoire d’une molécule en particulier, la colistine. Ces réflexions s’inscrivent dans un cadre plus général de confrontation entre enjeux de santé et enjeux commerciaux, et de leur prise en compte dans les instances normatives internationales et européennes.